I need another story... ft. Leroy

I need another story

Cette semaine avait été tout simplement fabuleuse. Hautes en émotions de toutes sortes. Oui, j’étais libre, mais il y avait quand même plus que cela. Winston et Leroy. Je les avais trouvés et c’était vraiment la plus grande chance que j’avais eu. En plus j’avais eu droit à un petit moment shopping entre filles. Ça aussi, ça m’avait fait beaucoup de bien. Pas que je me plaignais de mes vêtements, mais ça donnait un petit élan de renouveau. Je ne pourrais jamais remercier assez Winston de toute l’aide qu’il m’apportait, je m’étais un peu mise en tête de l’aider un peu sur la ferme, d’ailleurs, ce n’était pas pour me déplaire, ça me permettait également de passer du temps avec Leroy.

Pas que nous avions réellement besoin d’une excuse en fait… parce que depuis que nous nous étions vus, il n’a pas une journée que nous n’avions pas été ensemble. J’avais sans doute dormi chez lui, dans son propre lit comme il insistait alors que lui dormait sur le divan, que chez le Doc. Je retrouvais mon meilleur ami et rien ne me gonflait plus de bonheur que quand il réalisait par moment des éléments de notre passé commun. Il me suggérait des lectures parce qu’il savait que j’aimais cela… j’adorais lire quand lui était occupé à autre chose et que je n’étais pas loin. Je n’avais pas envie de me retrouver totalement seule maintenant, comme si j’avais peur qu’il ne disparaisse de nouveau. Je me perdais encore parfois à l’observer quand il travaillait, ne croyait pas la chance que j’avais et je sentais tous mes sentiments pour lui remonter à la surface rapidement. Il ne se souvenait plus de moi, mais il était le même. Involontairement il se souvenait de ce que j’aimais comme une chanson ou bien même un chocolat… c’était… c’était énorme.

Nous nous étions endormis ensemble sur le divan, nous avions joué à des jeux de société, rient à en pleurer aussi pour finalement discuter jusqu’à ce que le sommeil nous emporte tous les deux. Ça avait été sans doute la nuit la plus reposante. La belle différence était que je n’étais plus tant gênée de me réveiller près de lui, bon un peu quand même, mais avant je me disais que je n’avais pas le droit, là c’était différent. J’appréciais encore plus sa présence au lieu de culpabiliser. Même dormir dans son lit, je sentais son odeur et je me permis de l’apprécier encore plus.

Cette semaine avait passée si vite et même si j’avais Leroy, mes pensées revenaient souvent à mes parents. Incontestablement à mes parents qui devaient être décédés dans ce voyage qu’ils attendaient tant. C’était plus fort que moi, cela me brisait le cœur quand j’y pensais, je tentais de ne pas trop montrer ma peine, mais c’était difficile. Ce matin, je me réveillais lentement en réalisant que j’étais encore entourée de cette belle chaleur qu’était les bras du fermier. J’eus un mince sourire en réalisant que nous nous étions encore endormis sur le divan après qu’il ait eu un autre souvenir d’une série que nous écoutions ensemble autrefois. Cependant, j’avais le cœur lourd, il devait être encore très tôt, le soleil n’était pas totalement levé même. Je bougeais faiblement pour pouvoir regarder mon beau Leroy. J’observais ses traits dans la pénombre du petit matin. Il était si paisible, si beau ainsi. Cet homme était tout ce qui me restait maintenant. Je me mordis un peu la lèvre inférieure pour ensuite lever une main pour aller caresser avec une lenteur remplie de tendresse son visage du bout de mes doigts. Je voulais le réveiller, mais sans le brusquer. J’étais encore un peu endormie, mais quand je sentis qu’il fut assez réveillé pour m’entendre, je murmurais tout bas.

« Leroy… J’aimerais que tu viennes avec moi près de la mer… je… J’aimerais pouvoir dire au revoir à mes parents… »

Dire cela me fit serrer la gorge, je glissais mon front au creux de son cou pour cacher la tristesse qui devait déformer un peu mes traits. Il fallait que je le fasse, c’était ce que je devais faire pour tenter de continuer ma vie maintenant. Ça serait difficile, mais avec Leroy, ça serait bien plus viable.

@Leroy Johnson

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Cette semaine fut mémorable pour le séduisant garçon de ferme. Déjà que la pétillante brunette au sourire ensorcelant et lumineux comme mille soleil était une apparition de ce passé si mystérieux pour l’amnésique, mais que le palpitant de l’homme musculeux semblait déjà profondément lié à Lariassa à l’instant où le regard océanique de Leroy s’était posé sur elle endormi dans le tas de foin. La journée après cette galopée pour découvrir le domaine, alors que l’adonis préférait le vélo pour le côté athlétique et développé sa résilience, la magnifique jeune femme avait aménagé dans la petite maison d’employé du bon docteur. Naturellement le beau ténébreux avait insisté pour que la merveilleuse dame dorme dans le lit alors qu’il préférait le divan. Hors nombres de nuits blanches que le duo que la mince barrière du temps séparait avait vécues. Les jeux de société, les séries ringardes de geek averti, les repas autant gourmet que de la camelote alimentaire. Comble du bonheur pour le viril fermier furent les souvenirs récupérer à l’arraché de sa mémoire défaillante. Comme le chocolat favori, la chanson ou bien le mets de la pétillante brunette au sourire hypnotisant. Les éclats de rires, les confessions, les discussions enivrantes sur une multitude de sujets. Le travail de la ferme était joyeux à deux, les deux esprits curieux parlèrent de sujets passionnants autant pour l’un et l’autre. Souvent du coin de l’œil le jeune homme observait la silhouette sublime de la jeune femme qui lisait attentivement un des trésors de la librairie du vieux docteur. Deux fois la belle demoiselle s’était endormi dans les bras chaud et réconfortant du beau ténébreux qui avait passé la plus belle nuit, autant reposante que douce, de sa vie. Le premier réveil le musculeux homme avait profité de la lourdeur du sommeil de Larissa pour lui déposer un simple mais pur baisé sur le front. Goutant la douceur de sa peau et respirant avec bonheur le parfum de sa chevelure de bronze en fusion.

La seconde fois ce fut une tendre caresse des doigts graciles de Larissa qui réveilla le fermier. Pendant un bref instant il se demanda simplement si les songes étaient encore en train de lui jouer un tour, de recréer ce sourire et ce regard d’azur qui était devenu un mystère pour celui qui avait tant oublié de sa vie. Hors ce fut la réalité, ce songe devenu vit en la personne de la brunette, qui rayonnait doucement. Un petit sourire endormi se dessina sur les lippes charnues de l’homme alors qu’il serra avec tendresse le corps de son amie sur son palpitant qui hurlait son amour que l’esprit avait quelque peu oublié. Aux mots d’une profonde tristesse et au geste de peine, le compatissant et doux Adonis caressa la chevelure de Larissa dans un geste apaisant et réconfortant. La voix chaude et rauque de l’ancien danseur nu se leva dans un murmure conciliant.

Leroy- Bien sûr… Je crois que le meilleur moment sera entre chien et loup. La mer est calme en ce moment et tu pourras songer à ce que tu veux dire à tes parents. Je serais là pour te soutenir… Radiance…

Ce surnom était celui que Leroy avait attribué à Larissa à cause de la chaleur de ce sourire qui saurait faire fondre le cœur le plus glaciale de l’univers. Avec ce mot surgit du passé d’autres souvenirs remontèrent, comme libérer d’une digue sournoise qui empêchait jalousement l’accès à ce morceau volé de l’âme de Leroy. Des croyances oubliés que la passionnante archéologue avait expliqué au pompier complétement fasciné. Il se redressa alors avec douceur et fit un clin d’œil après que la jeune femme eut repris contenance.

Leroy- Tu pourrais demander au Doc de t’emmener là-bas? Lui aussi voudrait te soutenir. Moi je vais t’attendre à la plage. Mais avant on déjeune après s’être occupé des animaux… Tu sais que Blacky va nous faire la gueule si on retarde son avoine.

Après les besognes le viril homme laissa aux bons soins du couple de Phénix de s’occuper de la brunette. Il prépara alors une table près de l’océan sur la plage avec quatre chaises et les couverts. Des plats de pizzaghetti reposaient dans un réchaud au propane et dans la glacière du vin blanc et un gâteau au triple chocolat. Les fleurs favorites de la belle jaillissaient d’un vase au centre de cette table autant sobre que magnifique. Quand la voiture arriva Leroy alla à la rencontre de Larissa avec un sourire de bienvenue.

Leroy- Je me suis souvenu du repas d’adieu. Un repas que tu partages avec l’âme des gens que tu aimes. Je crois que c’est aztèque. Mais tu m’avais dit qu’après la douleur de l’au revoir, remémorer les souvenirs joyeux autour de la table avec en image les gens qui sont partis allège la tristesse et remplit le cœur d’une certaine joie. Je me souviens d’un millier de choses maintenant grâce à toi, mais pour l’instant ce temps et pour toi.

Il tendit la main pour soutenir la merveilleuse femme, cet amour disparut et revenu grâce à la magie du destin…

Pour la faire rigoler:

@Larissa Jones

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Ce petit sourire me fit sourire. Se rendait-il compte comment il était devenu ma bouée de sauvetage dans ce monde totalement inconnu? J’avais Winston, mais Leroy représentait pour moi une partie très importante de ma vie qui avait été beaucoup trop courte d’ailleurs. S’il n’avait pas été là je sens que j’aurais trouvé cela beaucoup plus difficile. J’aurais tenté de rentrer chez moi dans l’espoir de retrouver un semblant de sens à ma vie maintenant…Tandis qu’en voyant son sourire ainsi, dans le petit matin, je me disais que j’étais beaucoup moins pressée… même que j’en avais beaucoup moins envie. Son étreinte matinale me donnait envie d’y rester pour une petite éternité encore, rien ne pouvais m’attendre au creux de ses bras, c’était la folle impression que j’avais, ce sentiment de sécurité extrême. Ses doigts dans mes cheveux m’apaisaient énormément. Sa voix rauque était remplie de douceur et je ne fus que sourire un peu contre son cou à ce surnom que j’adorais tant.

Je me redressais paresseusement en passant une main dans mes cheveux emmêlés du matin, lui retournant un sourire à son clin d’œil. Je sentis une petite curiosité naître en moi à ses mots. Qu’est-ce qu’il… préparait? Cependant, je ne lui posais pas de question, je me levais déjà à ses mots en ricanant un peu.

« Même pas vrai, si je lui donne, il va être très content. »

Je lui fis un petit sourire espiègle et je l’aidais avec les tâches matinales, c’était mes préférés, m’occuper de nourrir les animaux, ça me faisait du bien. J’allais ensuite auprès de Tonton Winston et de charmante moitié. Je ne voulais pas trop m’éternisé sur mes parents, mais j’expliquais tout de même que je voulais leur faire des au revoir plus officiels. Finalement ils m’emmenèrent à la plage. Je sortais en regardant ce que Leroy avait préparé. Bon sang. Je sentis mon cœur bondir dans ma poitrine comme s’il tentait d’en sortir, j’eus le souffle coupé alors que mon regard océanique revint sur Leroy. Je restais silencieuse et interdite quelques instants, mais il pouvait comprendre que c’était la surprise. Cependant, je ne pris pas sa main qu’il me tendit je m’approchais pour le prendre dans mes bras. Je le serrais de toute la force de mes petits bras en disant près de son oreiller, la voix un peu tremblante d’émotion.

« Tu sais que tu es la meilleure personne que je connaisse Leroy…? Tu es fantastique… C’est… C’est tout simplement merveilleux. »

Je déposais un petit baiser contre sa joue en me reculant finalement. Je m’étais un peu emportée dans l’émotion, mais je pris une inspiration difficile avant d’avoir un petit rire. Je pris ensuite sa main pour me diriger vers ce qu’il m’avait préparé.

« Tu te rappelles de tellement de choses, Leroy… et même sans que tu t’en rendes compte tu sais… mais ça, c’est… (Je regardais la table, les fleurs puis finalement la mer. Je serais sa main en me dirigeant en premier vers la place pour en observer les horizons) Merci… Pour tout ce que tu fais. Merci de tout simplement être là. »

J’eus un petit rire timide en allant entrelacer mes doigts aux siens en regardant la mer, longuement, je sentais l’air salin caresser doucement mon visage. L’océan était si calme, tout le contraire de quand eux étaient morts. Je restais silencieuse quelques instants, quelques minutes. Je soufflais ensuite tout bas.

« Le bateau a sombré… quand nous étions près de la faille, nous pouvions la voir… Je me dis que parfois, dans une pensée peut-être un peu hypocrite juste… pour me consoler, qu’ils sont morts en sachant… en sachant que tout ce qu’ils pensaient était vrai… »

Je posais mon autre main contre son bras, allant ensuite appuyer ma tête contre lui en continuant de découvrir l’horizon de mes prunelles. J’étais triste, mais c’était différent comme tristesse. Ce n’était pas la tristesse lourde et désespérée de quand j’avais été esclave. Mon deuil, je le vivais depuis un moment, mais je pouvais aboutir à mieux vivre avec cela aujourd’hui et c’était bien parce que Leroy avait pris le temps de tout organiser cela que j’allais pouvoir y arriver.

@Leroy Johnson

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L’adonis de la ferme fronça des sourcils d’étonnement alors que sa main compatissante et d’une douceur issue de son palpitant restant en suspens. Mais la merveilleuse brunette s’avança pour enserrer délicatement le musculeux homme. Ce dernier en fit de même en refermant ses bras apaisant et réconfortant autour de cette silhouette autant magnifique que sensuelle. Les mots de Larissa firent déposer un sourire sincère et d’une tendresse exquis sur les lippes charnues de l’ancien sauveteur. Un baiser sur la joie faillit faire surgir le gamin gaffeur qui se cachait dans le for intérieur de l’homme. Un peu plus et Leroy aurait gambadé en sautillant comme un petit chien autour de la Belle en chantonnant des ritournelles un peu absurdes. Mais le gaillard se retient car le moment était aussi solennel que triste pour la jeune femme. La voix chaude et douce de l’homme au physique d’apollon se leva dans un murmure pour répondre et escorter le retrait gracieux de la brunette au sourire envoutant.

Leroy- C’est la moindre des choses. C’est une épreuve dure pour toi et je veux être près de toi pour t’appuyer dans ces moments difficiles.

Main dans la main, le duo d’âmes sœurs se dirigea vers la table disposant de quatre couverts. Une dernière communion entre les vivants et les âmes arrachées trop tôt des bras qui les aimaient. Hochant doucement la tête la réponse du beau ténébreux fut d’une sincérité touchante.

Leroy- Merci de ne pas m’avoir effacé de ta vie, de m’avoir permis de vivre alors que tous croyait que j’étais disparu…

Doigts entrelacé, d’une proximité à la fois troublante et apaisante, Leroy écouta les paroles de la brunette et sentit sans peine la tristesse et de la douleur. Sentant qu’il devait apporter encore plus d’appui, l’adonis lâcha la main de Larissa un bref instant pour se placer dans son dos. Ensuite les bras musculeux enlacèrent la fine silhouette de la brunette sublime dans un este protecteur et de réconforts absolus. Le palpitant de l’homme viril résonnait avec douceur une douce mélodie aimante et compatissante pour aider à chasser la tristesse du moment. Une magnifique étreinte d’un cœur aimant. Dans un murmure le jeune homme réconforta la belle avec un petit sourire.

Leroy- Ils ont réussi plus que tu ne le crois. Ils sont sus partager leur amour de l’histoire et de l’archéologie. Ils ont fait de toi une femme aussi douce que parfaite dans tout les aspects de la vie. Ils ont su que tout était aussi vrai et puissant que leur amour pour toi. Maintenant ils reposent l’esprit tranquille de savoir que leur fierté est sauve et entourer de gens qu’ils l’aiment et qui seront là pour elle.

La Fierté était le surnom que les parents avaient donné à leur fille prodige. Un autre élément du passé surgit alors du brouillard du passé de l’homme musculeux. Un fin sourire se propagea sur les lippes charnues de l’homme.

Leroy- Tu te souviens quand vous aviez eu cet artefact d’un musée, un truc venant supposément d’un dragon. J’ai glissé dans une flaque d’eau et l’écaille à tomber au sol. Mais ne me demande pas comment, j’ai réussi à saisir le contenant de verre avant qu’il n’éclate. Vous étiez les trois blêmes comme des draps. En me relevant on a entendu un craquement et c’était mon fond de pantalon. Mais j’étais trop concentrer à replacer l’artefact sur le bureau. Ta mère a vu alors mon caleçon de Gandalf et qui était écrit sur mes fesses « Vous ne passerez pas! ». Vous êtes mises à rires en a pleurer alors que ton père avait recommencé à respirer et il à suit le mouvement de fou rire. Pour ma part je ne comprenais rien, toujours dos à vous en plus pencher vers l’avant comme un pitre.

Riant doucement il rajouta.

Leroy- Quand je me suis rendu compte de ça j’ai couru vers la salle de bain et comme de raison je me suis pris le battant de la porte en pleine poire pour vous faire rire encore plus. Ta mère avait dit entre deux rires un truc du genre « Dommage qu’il soit gay car ce serait le gendre parfait… ».

Restant près d’elle le temps que Larissa se ressource, le bel adonis l’escorta vers sa place quand elle fut prête. Tirant la chaise pour lui permettre de s’assoir, Leroy en fit autant pour les âmes des parents de la merveilleuse brunette. Et comme de raison il n’avait que lui qui put rendre cocasse ce moment solennel en trébuchant dans le sable et se releva nt rapidement comme si rien n’était. Le fermier servit le vin, se rappelant de la préférence de chaque membre de la famille Jones. Ensuite il s’assit après avoir servi la salade en guise d’entrée.

Leroy- Monsieur et madame Jones. Merci d’être des nôtres pour ce repas et soulager la peine de votre fille. Je vous fait la promesse que je serais toujours là pour elle et je sais que le Doc aussi. Donc nous allons nous rappeler de bons moments et des instants d’amour et douceurs pour alléger le cœur de Larissa et lui permettre de se rappeler de vous à chaque moment avec joie et tendresse.

Prenant la main de la belle en signe de soutien le bel adonis a la musculation sexy fit un clin d’œil encourageant à la brunette avec un sourire craquant.

tendre moment:

@Larissa Jones

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Je ne pourrais jamais être plus reconnaissante envers Leroy pour tout ce qu’il faisait pour moi depuis que nous nous étions retrouvés. C’était un miracle pour moi. J’avais du mal à rompre le petit contact physique que nous avions, je tenais sa main comme si c’était mon pilier en ce moment, qui me permettait de continuer à avancer, un guide des plus précieux. Je lui souris à ses premiers mots. Non, ce n’était pas la moindre des choses… c’était la plus belle pensée qu’il pouvait lui faire pour ses parents. Il évoqua ensuite sa propre disparition. Mon sourire se fit un brin plus triste, je serais sa main un peu plus de la mienne avant de finir par dire.

« C’est parce que l’optique… que tu sois réellement disparu était bien plus douloureuse, Leroy… ce n’était pas possible dans mon esprit… »

Et c’était la réalité. Le sentiment que j’avais pour lui était beaucoup trop fort à l’époque pour tenter de l’oublier. Quand il se plaça dans mon dos, contre moi, je ne pus que sourire un peu plus. Je me sentais tellement en sécurité entre ses bras musculeux à sentir son cœur battre dans mon dos. Je pris une inspiration en relevant les mains pour les poser contre ses bras, m’appuyant de tout mon corps contre lui, sans trop vouloir être lourde, mais juste sentir réellement sa présence contre moi. Ses paroles me touchèrent profondément. Je me retenais avec force de ne pas pleurer, mais il m’apaisait de ses mots autant que de ses bras. Je caressais doucement son bras de mon pouce en continuant de fixer la mer. Puis comme si seulement lui pouvait le faire, je me mis à rire quand il évoqua ce souvenir tout à fait hilarant. Je riais de plus belle à mesure que le souvenir me passait en tête, ah oui… je me souvenais tellement.

« Oh oui je me souviens, j’avais presque eu mal aux abdos à force de rire autant! »

Puis il me mena à la table, quittant le réconfort de sa chaleur pour m’asseoir en face de lui quand il tira ma chaise. Je le remerciais tout bas en le suivant des yeux avant de couvrir mes lèvres d’une main quand il manqua de tomber. Pauvre de lui avec sa maladresse totalement exemplaire. Je lui fit un sourire tout à fait rassurant quand il ira s’asseoir. Je fus beaucoup plus solennelle quand il se mit à parler de mes parents, je regardais les chaises vides avec un poids lourd dans le cœur. Sauf que la promesse de Leroy était remplie d’espoir pour moi. Je serais toujours là aussi maintenant. Je le savais, je le sentais que j’en avais besoin. Quand il prit ma main, je la serrais doucement.

« J’ai des tonnes de souvenirs avec mes parents, ça serait difficile de tous les nommer, je me souviens tellement de la fierté de mon père quand je lui posais des centaines de questions quand j’étais enfant, ma mère qui aimait me raconter des mythes et légendes… »

Puis je continuais comme ça. J’évoquais des souvenirs heureux, beaucoup moins de tristes, mais par moment, ça m’arrivait. Ce n’était plus triste maintenant, parce que chaque petite dispute avec mes parents m’avaient appris beaucoup sur moi-même. Ils n’avaient jamais aimé mon mari et je les comprenais maintenant, énormément. Leroy… ils avaient toujours préférés Leroy. J’évoquais nos voyages et aventures de ma jeunesse, comment ils avaient été heureux de l’expédition qui avait finalement été la dernière… Je parlais beaucoup tout le long du repas, buvant un peu de vin, mangeant, mais je n’avais pas le plus gros appétit. Avec surprise, je ne pleurais pas, au contraire, je riais et souriais beaucoup plus. Reprenant toujours la main de Leroy quand je le pouvais, plongeant l’océan de mes prunelles dans les siennes alors que notre repas avançait. C’était un moment de pure bonheur et de perfection pour moi.

@Leroy Johnson

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Le repas fut des plus émotifs et comportant tellement de souvenirs à la fois doux et amère. Les meilleurs moments d’une existence qui ne sont que des songes enfouies dans le cœur aimant des survivants. Les parents de Larissa avaient littéralement adopté le bel Adonis, préférant la présence de Leroy amplement à celle du faux –cul qui servait de mari à leur unique enfant. Les paroles de la voix musicale et si douce de la brunette firent éclore des souvenirs de voyages, de recherches archéologiques et de temps précieux ensemble. Souvent la main de l’homme serra avec réconfort celle gracile de la jeune femme et tout fut parfait. L’être si parfait au regard du simple garçon de ferme semblait immunisé à la tristesse et au chagrin, se tournant vers le soleil radieux des espoirs du lendemain. Quand le dessert fut consommé Leroy parla doucement aux esprits des parents de celle qui venait de devenir une seconde fois le centre de son univers tout simplement.

Leroy- Je vous remercie pour ce repas monsieur et madame Jones. Maintenant avec l’accord de votre merveilleuse fille je vous encourage à aller explorer ce monde et de découvrir ce qu’il a vous offrir. Bon voyage et vous nous reverrons prochainement. Votre perte est énorme, mais votre souvenir sera toujours vivant dans notre cœur et notre esprit.

Le viril homme à la musculation d’adonis se leva et tendit la main à Larissa pour qu’elle se lève à son tour. Ils marchèrent un peu sur le sable doux et de nouveau Leroy invita la jeune femme à se reposer dos à lui pour regarder l’océan qui semblait s’être mis en beauté avec les reflets des nymphes brillantes de ce ciel dégager. Le palpitant chantait avec tendresse le nom de la brunette au regard d’azur renversant, une symbiose parfaite avec le sien. Leurs tatouages identiques qui se frôlait, deux jumeaux pour cette position intuitive et parfaite. Serrant tendrement et de manière réconfortante la jeune perfection dans ses bras musculeux, le beau ténébreux eut un sourire apaisant. La voix au timbre trainant, hypnotique et si chaud digne d’un américain originaire des bayous s’éleva alors paresseusement dans les airs.

Leroy- Je resterais avoir dans cette position à l’infini. Je me sens si bien… Je me demandais…

Quand il aperçut son regard l’homme rougit légèrement, tout à coup timide alors que rien ne semblait le déranger dans son existence si survolter.

Leroy- Tu as ce connard de mari en Angleterre et biens des amis… Mais je me demandais si tu voulais tourner la page…

Un sourire craquant et un regard luisant d’espoir apparurent sur les traits ciselés à la serpe si séduisant du danseur de charme.

Leroy- Nous pourrions arder nos précieux souvenirs… Et débuter une nouvelle vie ensemble…

Un petit soupire de bien-être s’échappa d’entre les lippes charnues de l’homme musculeux.

Leroy- Le Doc a tellement de trucs à t’apprendre sur ta passion… Et il me disait qu’il aimerait bien t’engager comme assistante et t’offrir des moments pour faire de l’archéologie avec lui.

Secouant la tête pour se prendre un courage devenu incertain le viril homme oscilla sans le savoir son corps pour suivre le roulis de la mer.

Leroy- Je t’aime depuis le premier moment que je t’ai vu… J’étais tellement chagriné de te savoir en couple et j’ai jamais dévoilé ce que je ressentais… Je ne voulais pas détruire cette belle amitié…

Un nouveau sourire grandiose et il continua.

Leroy- Mais la vie nous a donner la chance de se recroiser et tout sourire m’a toujours accompagné alors que je ne me souvenais plus de rien. Je ne sais pas si tu veux revenir au pays, mais j’aimerais bien qu’on reste ici et qu’on soit heureux et amoureux…

Il baissa le regard peu sûr de continuer.

Leroy- Si le cœur t’en dit… sinon je voudrais être juste près de toi juste au dernier souffle qui va m’habiter…

Il est nerveux un peu:

@Larissa Jones

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Je balançais entre la tristesse et la joie en ce moment. Je devais me faire à l’évidence que c’était la triste fatalité, la mort de mes parents. Qu’ils ne méritaient pas de mourir aussi tôt, mais je me consolais en me disant que c’était en réalisant leurs rêves et peut-être encore plus triste… qu’au moins… ils étaient ensemble. Mes parents s’aimaient d’un amour qu’on voit tellement rarement… Je serais souvent la main de Leroy, gardant quand même le sourire tout au long du repas et après les si belles paroles de Leroy, je rajoutais tout bas.

« Merci, papa et maman... »

Je ne pouvais pas dire plus, j’avais déjà tout dit durant le repas, comment je les aimais, comment j’allais chérir mes souvenirs auprès d’eux. J’accompagnais ensuite Leroy sur la plage, sans lâcher sa main encore une fois, je m’y accrochais même. J’étais un peu plus silencieuse, comme si je venais réellement de tourner une page sur l’histoire de ma vie. Sauf que maintenant… je n’avais plus peur du tout. C’était un nouveau chapitre rempli d’espoir. À son invitation, je m’appuyais de nouveau contre son torse. La tête bien contre lui en prenant une bonne inspiration. Je fermais les yeux quelques secondes avant de regarder le magnifique paysage qui se trouvait devant moi. Je souriais, tout doucement au moment que je vivais. Au travers des bruits des vagues et du vent salin, Leroy prit la parole. J’allais lui dire que moi aussi, si je le pouvais, je resterais ainsi pour toujours, que j’étais bien, mais il continuait et… il voulait me demander quelques choses. Je pivotais alors légèrement ma tête pour pouvoir le regarder, souriante pour l’encourager à continuer, mais les iris remplis de curiosité.

Il mentionnait mon mari avec le meilleur des adjectifs. Des amis? Bon, des connaissances plus, j’étais trop concentrée sur mon travail pour en avoir tant que ça… Puis mon cœur s’emporta avec vigueur. Que je tourne la page? Mes mains se serrant un peu contre ses bras. Sauf que ce n’était pas de la peur, au contraire… je ne m’étais pas imaginé rentrer. Je n’en avais pas envie non plus, pas du tout… Et il continuait… ensemble… cette idée me fit sourire de plus belle, une petite timidité au creux des yeux. Bon, il eut quand même une magnifique surprise quand il mentionna que Winwin voudrait de moi comme assistante, c’était une excellente nouvelle! Une magnifique idée! Je me décollais un peu, mais seulement pour pouvoir me tourner totalement vers lui, mes mains allant contre son torse et j’allais encore une fois pour répliquer, mais…d’autres mots tombèrent. Les mots magnifiques. Mon cœur arrêta de battre, je paris même que je ne respirais plus du tout non plus. Je clignais des yeux de surprises, mon corps semblant se remplir d’une douce chaleur pendant qu’il terminait de parler, en fait… je crois qu’il n’aurait pas pu parler davantage s’il l’avait voulu. Je m’étais hissé sur la pointe des pieds, agripper tendrement sa nuque pour pouvoir me rendre à ses lèvres.

Je l’embrassais. J’embrassais mon Leroy. Avec une telle douceur et une telle tendresse que je ne me souvenais même pas si j’avais déjà embrassé de la sorte quelqu’un. Je n’avais pas les mots tout de suite, mais je voulais qu’il comprenne, je n’avais même pas hésité pour l’embrasser, il avait tellement dit des choses magnifiques que ça c’était fait tout seul, dans une petite impulsion naturelle. Je ne le fis pas durer une éternité par contre et je ne fis que reculer faiblement la tête, mon souffle se mêlant au sien.

« Je… j’avais déjà l’intention de vouloir rester Leroy… il n’y a plus rien pour moi à Londres… Je… (je déglutis difficilement en appuyant mon front contre le sien) Je n’ai pas l’intention de m’éloigner de toi, j’ai été anéanti quand je croyais que tu étais mort, Leroy, je ne veux pas te quitter. (Je caressais sa mâchoire de mes pouces, tremblante et fébrile) Je t’aime aussi… Je t’aime depuis si longtemps, mais… je n’ai… j’aurais dû… (Je soupirais un peu en disant avec un peu plus de difficulté) J’ai envie de vivre avec toi ici… d’être avec toi. »

C’était mon petit côté impulsif qui avait pris le contrôle, comme si j’allais rater ma deuxième chance, mais non, je profitais de son aveu pour faire le mien, avec beaucoup d’émotion et de sincérité, je ne verrais plus ma vie sans lui, plus jamais.

@Leroy Johnson

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Le regard pers charger de tendresses et d’amour de l’adonis de la danse lascive s’accaparèrent de ceux magnifique et envoutant de la brunette qu’il avait toujours aimer. Leurs respirations s’entremêlèrent un instant et la panique d’avoir fait une connerie monumentale frigorifia le palpitant bienveillant du musculeux homme dans les frisons de la culpabilité. Dans un premier temps le beau ténébreux voulu quitter leur fraternelle étreinte pour passer sa main dans son cou en rougissant et s’excusant platement du soudain froid de la situation. Il allait implorer le pardon, quémandé l’oublie de cette déclaration qui allait achever cette amitié qui tenait tellement au cœur de l’assistant de ferme. Mais soudainement alors que le plan de retraite s’achevait dans son esprit le jeune homme fut totalement surpris et hébéter par le mouvement gracieux et téméraire de Larissa. Cette dernière venait de combler la distance pour venir déposer ses lèvres sensuelles et douce comme la soie sur les lippes charnues d’un Leroy totalement sous le charme. Ce fut un moment merveilleux et d’une pureté si surnaturelle que si l’homme pouvait emmener qu’un souvenir dans la mort il choisirait sans hésitation celui-ci. Tout en caressant le dos de la magnifique demoiselle qui embellissait ses songes même quand il n’avait aucun souvenir de lui, il laissait parler son âme doté d’une douceur exquise pour rendre ce moment encore plus parfait pour ces deux âmes sœurs.

Alors après ce baiser tant désirer et que les doigts graciles de celle qui était le tout du gaillard à la chevelure de bronze caressa le menton viril de l’adonis, un immense sourire autant amoureux que conquis envahit le visage taillé à la serpe de Leroy. Larissa voulait rester près de lui, tournant le dos à son existence en terre britannique pour vivre une histoire qui aurait dû commencer il y a des années de cela. Déposant sa paume rugueuse mais douce sur la joue de porcelaine de la demoiselle, le garçon de ferme posa son front contre celui de la brunette tout en fléchissant les genoux pour permettre à la femme si merveilleuse de pouvoir enfin se reposer un peu. Avalant difficilement sa salive suite à cet aveu qui rendait ses jambes en coton, l’ancien danseur exotique parla avec les accents de son palpitant amoureux.

Leroy- On aurait dû s’avouer avant… Mais je ne voulais pas te perdre si ce n’était pas réciproque… Même amnésique mon cœur luttait pour que je ne souvienne de ce qui était merveilleux dans mon existence… De toi… Maintenant célébrons le moment présent et tournons vers un futur ensemble...

Et comme de raison la maladresse légendaire de l’Adonis entra dans cette scène touchante. Les jambes de cotons du gaillard vacillèrent et devinrent aussi instable d’un navire en perdition dans un maelstrom océanique. Chatant vers l’arrière il entra dans sa chute la jeune femme. Hors l’adonis absorba l’impact sur le sable et éclata d’un immense rire libérateur et d’une joie infinie. Maintenant ils étaient au même niveau, leurs visage qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.

Leroy- Ça je ne chargerais jamais. Maladroit un jour et maladroit toujours… Mais une chose que je suis sur depuis si longtemps est que je t’aime et pour rien au moins je ne veux qu’on soit séparé de nouveau.

Un tendre baiser fut alors échangé avec une pointe de fougue et de passion qui sommeillait depuis si longtemps dans le palpitant enflammés d’amour de l’adonis. Les mains caressèrent le dos et se perdre dans la chevelure de bronze de la belle alors qu’il la serra sur son cœur pour ne plus jamais la laisser repartir. Pour s’assurer que ce n’était pas un songe trompeur, une chimère tant désiré mais mensongère… Se séparant à regret pour retrouver un semblant de souffle, le viril homme eut un sourire ravageur et plein de tendresse.

Leroy- J’espère que demain je me réveille dans tes bras et que tout ceci n’est pas un merveilleux rêve mais la superbe réalité …

Moment de pure romantisme:

@Larissa Jones

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I need another story

Je m’étais laissé totalement envoutée l’espace d’un instant par ses lèvres qui répondaient aux miennes. Je laissais mon corps s’imprimer de son goût, du contact de mes doigts contre ses cheveux. Je sentais ses grandes paumes dans mon dos et ses bras autour de moi me donnaient un énorme sentiment de bien-être. J’avais osé, mais ô combien je remerciais mon impulsion, je remerciais mon cœur d’avoir pris le contrôle de mon corps pour pouvoir prendre cette chance tout à fait parfaite de lui révéler ce que je ressentais pour lui. Je lui montrais dans mon baiser tout mon amour que je ressentais pour lui, mais je me devais quand même de lui dire quelque chose, de lui expliquer… Je vis son sourire qui me charma totalement, je me penchais vers sa main tout doucement pour en profiter tout le contact. J’avais les yeux clos et je n’entendais que les échos des vagues et des paroles de Leroy. Il était parfait, dans ses mots, dans sa présence et…

Dans sa maladresse! J’éclatais de rire quand il tomba, j’avais la chance d’être plus petite, même si l’émotion aurait brisé mon équilibre, il m’aurait soutenu, mais impossible pour moi de faire la même chose pour lui. J’étais sur lui, je riais à en pleurer presque. Je redressais juste un peu la tête, prenant le temps de repousser quelques mèches qui pouvaient chatouiller le nez de mon maladroit préféré. Mon sourire amusé se changea en sourire beaucoup plus attendri par ses mots. Bref, parce que je répondais à son baiser. C’était un baiser beaucoup plus brûlant, pas de beaucoup, mais il avait une différence qui me fit serrer le ventre avec force. Mes mains s’accrochant à son chandail. Je ne réalisais même pas que j’allais manquer d’air, je voulais l’embrasser ainsi encore longtemps, aussi souvent que je le pouvais. Une tentative perdue de rattraper le temps perdu. Mes genoux s’étaient posés sur le sol près de ses jambes pour me donner un semblant de soutient et lorsqu’il brisa le baiser, je tentais de suivre ses lèvres au départ avec d’avoir un petit sourire timide, relevant mon regard pour pouvoir l’observer avec ce sourire qui avait hanté mes nuits durant les dernières années. Je souriais à ses mots, une de mes mains revenant contre son menton et sa joue, je secouais la tête lentement.

« Ce n’est pas un rêve… c’est… c’est la réalité… Elle est juste… beaucoup plus belle maintenant… »

Puis je me penchais un peu pour aller perdre de nouveau mon souffle dans un baiser transpirant l’amour et la tendresse. Je l’aimais, je l’aimais plus que tout et maintenant il était mon centre, mon univers… J’avais besoin de sa présence et j’étais sincère, ma vie était plus belle maintenant… Et je pus l’embrasser ainsi durant des heures, seulement l’envie de rentrer me raisonna à la passion, de toute façon, je savais que nous aurions maintenant toute la vie pour pouvoir apprendre à se connaître sous un angle que nous avions jamais osé. Mon cœur battait à tout rompre en moi, mais c’était exaltant. Je pris le temps de le remercier pour ses attentions de ce soir, pour le repas, pour tout ce qu’il avait préparé pour moi. Je voulais le rendre heureux autant que lui me rendrait heureuse en ce moment, j’allais m’y attarder jusqu’à mon dernier souffle.

@Leroy Johnson

Codage par Libella sur Graphiorum